Je suis un humain ;

Mon nom est Garner, je m'appelle Elliott. On me surnomme parfois Eli. Je suis née le 18/01/1992 dans la grande ville de Liverpool en Angleterre. J'ai donc 21 ans. Je suis de nationalité Anglo-Américaine et d'origine Anglaise. J'aime les filles. Je suis actuellement libre. Avant toute cette galère, j'étais étudiant en droit. Chose qui a bien changé aujourd'hui puisque je suis un résistant. Souvent on pense que je suis Logan Lerman

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→ LE CARACTÈRE DE MON PERSONNAGE

QUALITÉS
Courageux
Loyal
Franc
Extraverti
Intelligent
Persévérant/option>
Attentionné
Passionné DÉFAUT
Froid
Irascible
Dangereux
Rusé
Secret
Manipulateur
Borné

Citation :

♦ Enfant unique, il est un petit miracle que ses parents se désespéraient d'avoir. Il a donc été choyé et aimé plus que de raison.
♦ "Un esprit sain dans un corps sain" est sans doute la phrase qui le caractérise le mieux. Il pratique le combat depuis sa tendre enfance, au même niveau que la course à pied et le piano.
♦ Sûr de lui, il a pleinement conscience de son charme et adore en user.
♦ Persévérant, ambitieux et confiant, il avait pour but avant l'invasion de devenir avocat et de travailler avec son père qui lui a apprit la passion du métier.
♦ Il déménage de Liverpool à 17 ans pour s'installer à Chicago où il fait sa dernière année de lycée.
♦ Son caractère extraverti lui permet alors de se fondre rapidement dans la masse et de se faire une place de choix dans le lycée mais c'est sans compter sur Lily Miles qu'il a prit en grippe au premier coup d’œil. Tout les moyens étaient bon pour la faire enrager surtout l’appeler Melya (son premier prénom qu'elle ne supporte pas).
♦ Il choisit Harvard comme fac, officiellement parce que c'est là où son père à fait ses études de droit, officieusement parce qu'il sait que Lily l'a choisit aussi.
♦ Il perd ses parents dans la première vague d'invasion et commence à prendre des mesures de précautions pour éviter de se faire attraper à son tour.
♦ Lors d'un de ses raids il tombe sur Lily, c'est lui qui l'a ramené à la caverne du grand lac salé. Voilà ce qui est marqué sur ma fiche: J’avais réussit à m’échapper de justesse. Où je me trouvais maintenant m’importais peu, ils m’avaient prit mes parents et mon frère ! Mon jumeau ! Et avaient faillit m’attraper moi ! Je tremblais, le choc sans doute et le froid aussi. Je devais me reprendre mais je n’y arrivais pas. J’ai comprit qu’il y avait un problème quelque part suite au changement de personnalité de mon entourage mais qui aurait pu croire à une invasion extraterrestre ! Et dire qu’Ambroise avait balayé mes craintes en me disant que je me faisais des idées ! Maintenant il suffisait de voir ce qu’il était devenu. Ils lui avaient implanté un truc dans le crâne à l’heure qu’il est, comme ils l’avaient fait avec tous les autres de nôtre espèce, comme ils le ferraient avec moi s’ils me retrouvaient.

Une main se posa sur mon épaule et je sursautai vivement, me relevant et me préparant à me battre pour garder le contrôle de mon corps. Mais alors que je m’apprêtais à taper la personne qui m’avait touché, mon bras fut bloqué par une main puissante qui dans un simple geste me retourna vers lui. Je me retrouvai alors face à Garner ! Mes yeux s’écarquillèrent de surprise tandis que je plongeais dans ses yeux pour m’assurer d’avoir bien à faire à lui et pas à une de ses choses. Ses yeux étaient bleus, semblables à la mer et pas un cercle gris ne venait peindre ses iris. Je me détendis instantanément avant de me rendre compte que sa main tenait toujours mon bras. Cette soudaine promiscuité me mis mal à l’aise, j’avais toujours veillé à mettre un minimum de distance entre nos deux corps lors de nos joutes verbales.

Il me questionna sur la façon dont j’étais arrivé là et devant mon mutisme il me demanda si j’allais bien et s’il y avait quelqu’un avec moi. A ce moment là mes yeux se remplir de larmes que j’essayai de chasser tant bien que mal. Alors de je ne sais qu’elle façon je me retrouvai dans ses bras, lui me berçant lentement silencieusement. Il alla à mon rythme, me faisant avancer dans cette jungle hostile le plus vite possible sans jamais me brusquer. Je lui devais encore aujourd’hui mon salut. Elliott Garner m’avait soutenu, épaulé et garder en vie. C’était grâce à lui que j’avais rejoins les rebelle. On ne reparla pas de ma crise de larme mais cependant j’appris que si je l’avait tant prit en grippe pendant nôtre adolescence ne tenait qu'au fait que l’on était beaucoup trop semblable, beaucoup trop complémentaire !

PS: